
« La répression est un vêtement sans coutures ; une société qui est autoritaire dans ses codes sociaux et sexuels, qui écrase les femmes sous le fardeau intolérable de l’honneur et de la propriété, engendre également d’autres répressions. En revanche : les dictateurs sont toujours – au moins publiquement, en ce qui concerne la conduite des autres – puritains. »
(Salman Rushdie, « La honte », Nouveau Cabinet Cosmopolite, Stock, 1984, p.196.)