Deux articles particulièrement intéressants, parce que d’actualité, mais pas seulement :

 "Les enfants sont en première ligne sur le front du blocus de Gaza par Israël" par Stephen McCloskey (http://divergences2.divergences.be/... qui, à propos des enfants de Gaza si régulièrement victimes - tués ou blessés - des bombardements, analyse de façon précise leurs conditions de vie , notamment sur le plan sanitaire et éducatif, sans compter les répercutions psychologiques.

Un extrait

ÉExtraits :

"Dans ce territoire où l’éducation est considérée comme le premier moyen d’échapper à la pauvreté, les coupures d’électricité peuvent être à la fois handicapantes et décérébrantes, avoir un impact négatif sur les performances scolaires et le développement des jeunes."

"Il y a également des implications de santé inquiétantes résultant de la crise du carburant. En plus de l’approvisionnement réduit en eau, il y a les effets du blocage des stations de pompage des eaux usées, du traitement des eaux sales et des unités de désalinisation qui affectent la qualité de l’eau."

"Les écoles sont aussi confrontées aux problèmes psycho-sociaux des enfants, dont beaucoup subissent les effets psychologiques résiduels des bombardements et de l’invasion par Israël en 2008-2009. [...] Cette exposition à la violence et au stress a des conséquences sur la santé mentale des jeunes, qui se manifestent par de la peur, de l’insomnie, de l’hypertension et un manque de motivation."

 Également sur Divergences 2, une note de lecture du livre de Christiane Passevant Féminicides et impunité. Le cas de Ciudad Juarez [1].

Extrait de l’article (http://divergences2.divergences.be/...) :

"Pourquoi cette ville et pourquoi la permanence de ces crimes qui ciblent presque exclusivement de jeunes travailleuses de ces fameuses maquiladoras des villes frontières ? Presque exclusivement car des cas de jeunes femmes, touristes, se sont ajoutés aux assassinats perpétrés dans cette ville. Impunité et corruption sont liées pour expliquer la situation qui perdure dans toute son horreur pour une raison majeure qui domine tous les cas de figure et les hypothèses envisagées : le patriarcat. Car il est impossible d’imaginer que plus d’un millier de crimes commis de manière atroce et depuis des années demeure sans solution."